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Jean-Baptiste Olive
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Jean-Baptiste Olive
Tableau
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13 500 €
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Jean-Baptiste OLIVE (1848-1936)
Rochers, bas de la corniche, Marseille, huile sur toile
Signée en bas à gauche.
74 x 60 cm
Le massif des Calanques, s’étendant de Marseille jusqu’à La Ciotat, offre un paysage exceptionnel composé de formations calcaires escarpées et isolées. Ce décor naturel a longtemps nourri l’inspiration des peintres paysagistes, notamment ceux originaires de Marseille et de Provence. Des artistes tels que Jean-Baptiste Olive, Paul Guigou ou encore Raphaël Ponson ont fréquemment illustré ces panoramas impressionnants. Tandis que la photographie commence à immortaliser ces sites sur pellicule, les peintres, quant à eux, s’attachent à capturer les jeux de lumière et à rendre compte d’une nature encore intacte, à l’écart des transformations liées à l’urbanisation et à l’essor industriel.
Jean-Baptiste Olive éprouvait une affection particulière pour ce lieu. Le tableau présenté ici constitue une autre interprétation de celui exposé au musée de Toulon, réalisé à une heure différente de la journée. › BIOGRAPHIE DE L'ARTISTE :
Jean-Baptiste Olive, peindre les Calanques
Jean-Baptiste Olive, né à Marseille en 1848, est un peintre français reconnu pour ses paysages maritimes et provençaux. Initié très tôt à l’art grâce au décorateur Étienne Cornellier, il intègre l’École des beaux-arts de Marseille, où il se distingue rapidement. Il trouve ses premiers sujets dans sa ville natale : le Vieux-Port, les îles et les côtes méditerranéennes, qui resteront au cœur de son œuvre.
En 1874, un voyage en Italie (notamment à Gênes et Venise) enrichit sa palette. Installé à Paris dès 1882, il continue à peindre la Provence depuis la capitale, affirmant ainsi une identité artistique ancrée dans ses origines. Il décore plusieurs lieux prestigieux, comme le Cirque d’Hiver et la basilique du Sacré-Cœur.
Présent au Salon de Paris dès 1874, il devient sociétaire du Salon des artistes français en 1881 et reçoit une médaille d'argent à l’Exposition universelle de 1889. Olive est célébré pour ses paysages lumineux et poétiques de la Méditerranée, qui symbolisent une Provence idéalisée. |
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13 500 €
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Jean-Baptiste OLIVE (1848-1936)
Rochers, bas de la corniche, Marseille, huile sur toile
Signée en bas à gauche.
74 x 60 cm
Le massif des Calanques, s’étendant de Marseille jusqu’à La Ciotat, offre un paysage exceptionnel composé de formations calcaires escarpées et isolées. Ce décor naturel a longtemps nourri l’inspiration des peintres paysagistes, notamment ceux originaires de Marseille et de Provence. Des artistes tels que Jean-Baptiste Olive, Paul Guigou ou encore Raphaël Ponson ont fréquemment illustré ces panoramas impressionnants. Tandis que la photographie commence à immortaliser ces sites sur pellicule, les peintres, quant à eux, s’attachent à capturer les jeux de lumière et à rendre compte d’une nature encore intacte, à l’écart des transformations liées à l’urbanisation et à l’essor industriel.
Jean-Baptiste Olive éprouvait une affection particulière pour ce lieu. Le tableau présenté ici constitue une autre interprétation de celui exposé au musée de Toulon, réalisé à une heure différente de la journée. |
Jean-Baptiste Olive, peindre les Calanques
Jean-Baptiste Olive, né à Marseille en 1848, est un peintre français reconnu pour ses paysages maritimes et provençaux. Initié très tôt à l’art grâce au décorateur Étienne Cornellier, il intègre l’École des beaux-arts de Marseille, où il se distingue rapidement. Il trouve ses premiers sujets dans sa ville natale : le Vieux-Port, les îles et les côtes méditerranéennes, qui resteront au cœur de son œuvre.
En 1874, un voyage en Italie (notamment à Gênes et Venise) enrichit sa palette. Installé à Paris dès 1882, il continue à peindre la Provence depuis la capitale, affirmant ainsi une identité artistique ancrée dans ses origines. Il décore plusieurs lieux prestigieux, comme le Cirque d’Hiver et la basilique du Sacré-Cœur.
Présent au Salon de Paris dès 1874, il devient sociétaire du Salon des artistes français en 1881 et reçoit une médaille d'argent à l’Exposition universelle de 1889. Olive est célébré pour ses paysages lumineux et poétiques de la Méditerranée, qui symbolisent une Provence idéalisée.
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