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Jacques Lipchitz
Sculpture
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10 000 €
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Arlequin assis avec mandoline
Modèle créé en 1926
Bronze à patine brune
Porte le cachet du fondeur C. Valsuani cire perdue
H. 21,5 cm Terrasse L. 12,7 P. 11,8 cm
Entre 1924 et 1926, Jacques Lipchitz travaille sur une série de sculptures évoquant les thèmes de la musique et du cirque qu’il appelle les transparents. En rupture avec le cubisme, ces sculptures à claire-voie où le vide l’emporte et les formes souples tendent à s’éloigner des formes cubistes.
« Ces transparents, qui m’arrivèrent sans y prendre garde, furent une expérience fantastique. J’avais travaillé, dans les années précédentes, autour d’une forme d’expression toujours plus solide et monumentale. Soudain, je me retrouvai jouant avec l’espace, avec une sorte de construction ouverte, lyrique, qui agit sur moi comme une révélation. Je n’ai aucune idée de la manière dont j’en suis arrivé là. Cela s’est simplement produit ; mais ce fut une expérience extatique. C’était comme si j’avais découvert un concept, entièrement nouveau, de sculpture en tant qu’espace, l’âme immatérielle de la sculpture plutôt que sa corporéité physique. » Jacques Lipchitz, My life in sculpture, 1972.
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10 000 €
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Arlequin assis avec mandoline
Modèle créé en 1926
Bronze à patine brune
Porte le cachet du fondeur C. Valsuani cire perdue
H. 21,5 cm Terrasse L. 12,7 P. 11,8 cm
Entre 1924 et 1926, Jacques Lipchitz travaille sur une série de sculptures évoquant les thèmes de la musique et du cirque qu’il appelle les transparents. En rupture avec le cubisme, ces sculptures à claire-voie où le vide l’emporte et les formes souples tendent à s’éloigner des formes cubistes.
« Ces transparents, qui m’arrivèrent sans y prendre garde, furent une expérience fantastique. J’avais travaillé, dans les années précédentes, autour d’une forme d’expression toujours plus solide et monumentale. Soudain, je me retrouvai jouant avec l’espace, avec une sorte de construction ouverte, lyrique, qui agit sur moi comme une révélation. Je n’ai aucune idée de la manière dont j’en suis arrivé là. Cela s’est simplement produit ; mais ce fut une expérience extatique. C’était comme si j’avais découvert un concept, entièrement nouveau, de sculpture en tant qu’espace, l’âme immatérielle de la sculpture plutôt que sa corporéité physique. » Jacques Lipchitz, My life in sculpture, 1972. |
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